L'eaux de l'Atlantique était calme. Le bateau poursuit son voyage. Le Titanic prend de la vitesse. Il a parcouru 835 km en une journée. Il a déjà traversé la moitié de l'océan Atlantique, le 14 avril qui est le 5ème soir de ce voyage. Une nouvelle commence à circuler qu'il y a des glaces devant. Quelques kilomètres plus loin, l'iceberg qui frappera notre paquebot, fond très vite malgré l'eau d'un immense froid. Il mesure maintenant 30 m de haut cependant il cache plus de glace sous la surface de l'eau. Cet iceberg à l'aspect d'un fauteuil avec le dossier et les accoudoirs. Autour de celui-ci navigue une centaine d'autres icebergs. Pendant ce temps, le Titanic va plus vite que jamais. À 23h40, il est dans un champ de glaces à une vitesse de 22 noeuds et demi. Il navigue dans l'obscurité noire et dans une température avoisinante du point de congélation. Soudain, la vigie voit une grosse masse noire devant le bateau. Le capitaine fait virer l'embarcation à droite et de renverser les moteurs des machines. Mais encore, à la vitesse où il va, il aurait besoin de 1 à 1,5 km pour qu'il s'arrête complètement. L'iceberg frotte le gigantesque bateau. Plusieurs morceaux de glace tombent sur le pont principal. Après quelques temps, l'iceberg a des taches rouges et noires sur lui. L'iceberg à bel et bien déchiré la coque du bateau à tribord sur quelques centaines de mètres.

 

Le paquebot s'arrête si lentement que le ¾ des gens ne se rendent même pas compte de la situation où ils sont. Au fond du navire, les mécaniciens voient l'eau leur tomber dessus. Les postiers doivent se battre pour sauver le courrier. L'eau va ensuite dans les soutes de charbon et atteigne le feu de la chaufferie n°6. Seulement en 10 minutes, l'eau montent à un niveau d'eau de 4 m dans l'avant du bateau. La poupe (arrière du bateau) commence à se lever. Thomas Andrews comprend que son "insubmersible géant des mers" aura coulé en moins de 3 heures. Maintenant, il est temps d'embarquer le plus grand nombres de personnes dans les chaloupes et de lancer les appels de détresse par la radio. Celui-ci et le capitaine savent que les chaloupes ne peuvent contenir que la moitié des passagers. Les garçons de cabines commencent à parcourir le bateau pour réveiller les gens de première classe. Les riches n'en croient pas leurs yeux et ne veulent pas se pressés à quitter le paquebot. Cependant, l'eau est encore loin du pont. En plus, il fait un froid de canard et les lumières de l'embarcation sont encore allumées, ce qui est très rassurent! Les musiciens jouent encore du violon sous la direction du violoniste Wallace Hartley. Un peu plus tard, une controverse sera jouée. Il sera le dernier air joué avant que le Titanic ne sombre complètement.

 

Ce drame a donné immédiatement naissance à une série de demandes d'indemnisation de la famille des survivant ou des proches des victimes. Voici quelques exemples: le gouvernement des É-U fait une demande à la White Star Line de lui rembourser 41,04$ pour5 la perte de courrier, Mme Charlotte Cardeza demande 177 352, 74$ pour ses bien perdu, William Carter lui veut des remboursement pour sa Renault d'un prix élever à 5 000$. Stuart Collet exige 50$ pour la perte de notes de cours écrites à la main et Robert W. Daniel veut un remboursement de 750$ pour son chien bull-dog. Pourtant, personne ne veut dédommager les familles des violonistes, qui eux on payé la Black Agendy de Liverpool. La White Star Line réplique que les personnes de l'orcheste devaient être comme les personnes de deuxième classe. Les musiciens n'étaient même pas assurer. L'agence à dit à la famille d'un mucisien de leur rembourser l'habit que celui-ci n'avait même pas payé avant le voyage!